Un mois chez Winston : amener «ma» game à «la» game 

L’expression est de Martin St-Louis et elle fait maintenant partie de la culture populaire. Et au moment où les équipes de la Ligue nationale de hockey terminent le premier quart de leur saison, j’ai repensé à cette citation mémorable. 

Ce qui fait la force d’une expression, aussi imagée soit-elle, c’est son potentiel d’application dans une foule d’autres champs et contextes. À l’instar du pogo dégelé dans la boîte de Manon Massé, la poupée russe de la game de Martin St-Louis s’extrapole à merveille dans des situations bien éloignées de la politique ou du hockey, le cas échéant. 

Si je prends ce long détour, c’est que peu importe comment j’essaie de la positionner, j’ai l’impression que mon dernier mois professionnel - mon premier avec Winston - se résume bien par les mots du coach St-Louis. J’ai amené ma game à celle de mon nouvel employeur. 

Ou reformulé en termes RH : on a su intégrer mon bagage de compétences dans la culture de l’entreprise. 

Martin St-Louis pourrait sans doute compléter l’analyse avec sa métaphore de la bonne chaise, elle aussi passée dans les annales, mais laissons le lexique de l’entraîneur du Canadien quelques instants. 

Une question de culture, Pierre

Winston est une jeune et petite boîte dont l’expertise principale, le marketing RH, demeure un service de niche. De deux employés à mon arrivée, la boîte est passée à 4 au moment où j'écris ces lignes. C’est donc dire qu’il fallait un liant fort pour absorber une telle croissance. Ce liant, c’est la culture Winston qui s’articule et se vit au quotidien dans un environnement d’ouverture, de discussions et de réflexion en continu. 

Un exemple anodin, mais néanmoins probant : le club de lecture officieux de Winston. Au bureau de Hawkesbury, une petite bibliothèque contient une quarantaine de titres à découvrir. Les éditions hard covers des livres spécialisés en marketing, marque employeur ou stratégie donnent envie de les dévorer sans retenue, comme autant de petits coffres de trucs et astuces qui stimulent la créativité, changent la perspective et ouvrent le champ de nouveaux possibles. 

En tant que rédacteur et stratège de marque, j’ai joint une équipe qui s'anime lorsqu’il est question de contenu, d’éditorial et de positionnement de marque. Je tâche d’en faire de même dans les conversations sur le marketing RH : pour m’exposer, pour m’imprégner. Je collabore aussi chaque jour avec des passionnés de rédaction, qui ont une plume affutée et qui s’en servent avec fougue. Pour un rédacteur, il n’y a pas meilleur environnement pour se motiver. 

Bref, la game est forte chez Winston et ça donne envie de rehausser la sienne afin de l’y emmener. 

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